La Tour de Mérelle


L’observatoire de la Tour de Mérelle offre une vue imprenable à 360° sur Gérardmer, son lac et les alentours. Construite en 1964 par les Scouts de France, cette tour fait partie intégrante de l’histoire de Gérardmer, et est incontestablement une activité emblématique.
Depuis Ramberchamp suivre le sentier qui vous mène en haut, mais sachez que la randonnée est assez sportive et qu’une bonne paires de chaussures est conseillée. Ne vous y aventurez pas en tongues et claquettes !
Si vous n’êtes pas accro à la randonnée ou pressé, il est également possible se s’y rendre en voiture en suivant la direction du Phény. Attention, la route n’est pas très large, et il y a plusieurs virages ainsi qu’un passage au milieu de quelques habitations. Le parking permet de stationner à proximité. Il restera ensuite 400 à 500 mètres à parcourir pour arriver à la tour.
Attention: du 1er juin au 30 septembre, l’accès à la tour de Mérelle à été modifiée afin de préserver le site. Un arrêté municipal interdit l’accès à tous véhicules à moteur. L’accès de fait donc uniquement à pied.
Depuis Ramberchamp suivre le sentier qui vous mène en haut, mais sachez que la randonnée est assez sportive et qu’une bonne paires de chaussures est conseillée. Ne vous y aventurez pas en tongues et claquettes !
Si vous n’êtes pas accro à la randonnée ou pressé, il est également possible se s’y rendre en voiture en suivant la direction du Phény. Attention, la route n’est pas très large, et il y a plusieurs virages ainsi qu’un passage au milieu de quelques habitations. Le parking permet de stationner à proximité. Il restera ensuite 400 à 500 mètres à parcourir pour arriver à la tour.
Attention: du 1er juin au 30 septembre, l’accès à la tour de Mérelle à été modifiée afin de préserver le site. Un arrêté municipal interdit l’accès à tous véhicules à moteur. L’accès de fait donc uniquement à pied.
Le pont des fées

Petit pont de pierre typique, au bord de la rivière Vologne, entre Gérardmer et Xonrupt‑Longemer Le pont dit Pont des Fées est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 11 février 1972
Il fut construit en 1763 et restauré entre 1782 et 1838 et était l’unique passage desservant Saint-Dié à la maison-forte de Martimpré. Il est vraisemblable qu’un autre pont en bois et plus ancien ait existé, mais n’a pas laissé de trace[1].
Le pont dit Pont des Fées est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 11 février 1972[2].
Plusieurs légendes sont prêtées au site[5]. Selon une de ces dernière, une fée attirerait les chevaliers pour leur faire boire un philtre afin qu’ils ne soient plus clairvoyants et de les attirer à construire le pont avant d’être relâchés à l’aube

Le vieux Gérardmé
Le « Vieux Gérardmer » correspond au sous‑secteur 3b de la commune selon le règlement communal et l’AVAP (Aire de Valorisation de l’Architecture et du Patrimoine) : c’est le cœur ancien, celui qui conserve le plus de témoignages architecturaux d’avant-guerre.
Parmi ses édifices les plus remarquables se trouve la Ferme dite Immeuble Chevroton, située 3 place du Vieux Gérardmer, en face de l’église Saint‑Barthélémy. Construite en 1787 (la date figure sur la clé de la porte charretière), la ferme Chevroton est le seul bâtiment rural protégé comme Monument Historique dans les Hautes Vosges. Wikipédia Ses façades, toitures, ancienne cuisine, la pièce à l’angle nord avec cheminée et le sol dallé au rez‑de‑chaussée font partie de l’inscription depuis 1979. Wikipédia


L’église Saint‑Barthélémy, dont on peut observer l’architecture autour du vieux centre, a été construite vers 1730 en grès des Vosges, détruite partiellement pendant la Seconde Guerre mondiale (notamment façades, mais la façade principale et la cloche furent épargnées) et reconstruite en 1952.


Dans les rues anciennes autour de l’église, de la mairie (rue Charles de Gaulle, rue sous l’église, etc.), se trouvent plusieurs fermes vosgiennes du XVIIIᵉ siècle dont les portes charretières portent encore les dates de construction. Ces maisons traditionnelles mixtes bois, pierre, grès et granit, avec toits pentus (souvent recouverts de tuiles ou d’ardoises selon les rénovations), traduisent le mode de vie ancien lié à l’agriculture et au milieu montagnard.

La Pierre Charlemagne


Une légende dit que l’empereur serait venu chasser dans les forêts voisines. Fatigué, il se serait reposé sur cette imposante pierre. Las de l’attendre, son cheval aurait frappé violemment le rocher pour réveiller Charlemagne, laissant à jamais l’empreinte de son sabot gravée dans la pierre.
